lundi 21 février 2011

Je suis une conasse, une conasse, une conasse.

(Oui je m’aime, pas vous ?)
Etant donné qu’en ce moment je vis VERT, pense VERT, manger VERT et même rêve VERT, pour des raisons que je ne développerais pas ici (qui n’ont soit dit en passant rien à voir avec l’écologie donc les fans d’Eva Joly et compagnie passez votre chemin). Bref, pour suivre ma tendance à 100% alors que les plus grands dirigeants du monde dessinent de l’avenir du monde (cf G20) que la France est pendue à une seule langue, celle de DSK (se présentera, se présentera pas ? Youhou ça me fait une belle jambe) et que dans les pays arabes ça s’entretue sec pour la démocratie et la liberté, moi je m’achête du vernis vert et prend en photo mes vernis. Ouais je suis qu’une conasse de no life vous pouvez le dire. J’aurais pu aller me balader dans les champs, penser, réfléchir à comment faire pour empêcher que ce cher Sarko soit réélu en 2012, mais non je m’achète du vernis et je profite des dernières soldes à Zara. C’est mal. Je sais. Flagellez moi sur la place publique je ne demande que ça. J’ai aussi compté mes vernis tiens dernièrement. Le nombre final dépasse le nombre de personnes assistant au meeting du NPA à mon avis, donc je le tairais ici par respect. Je dis que de la merde. C’est la drogue. 46. Oui vous avez bien lu. Non seulement je suis une conasse mais en plus j’ai 46 vernis, toutes de teintes différentes dont certains que je n’ai même pas encore testé. Je vous ferais un autre post quand j’aurais atteint 50, histoire qu’on fête ça tous ensemble. Comme ça on fêtera aussi le départ de N.Sarkozy (espoir quand tu nous tiens).
Sur ce continuons dans les futilités avec ces ballerines à 7,99£, j’ai envie de dire à ce prix là j’ai bien envie de vider mon compte en banque (pour la 15ème fois cette semaine) trouvé via le blog de coline, puis sur ce blog des photos que ma foi j’ai trouvé fort fun.
Et je terminerai sur cette phrase, parce que je suis juriste (en herbe) et qu'on ne se refait pas:
"La Liberté journalistique comprend, lorsque est en cause un débat public d'intérêt général, le recours possible à une certaine dose d'exagération, voire de provocation dans le débat." 
Cour de Cassation, 3 févier 2011.

AMEN, les juristes sont les plus forts.

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